Enfin la voilà la suite des évadés du temps...ou presque

Publié le par Max Crabouif


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Jean-jacques Foulamed me dit que tu veux un "raizumé des "zépizodes" précédents parce que sinon t'y comprends que "pouic"...
Me gonfle le crabouif!
C'est bien vrai ça?
Tu le veux le "raizumé" sans résiné?
C'est bon le "résiné"... faut leur en acheter aux grecs avec le bordel qu'il y a chez eux... ça te secouera les neurones à toi aussi!
Allez un "tit" gorgeon pour fêter le printemps et que le climat se réchauffe...parce que ça caille..
Je ne sais pas toi mais moi j'ai encore les "poils-du" tout gelés le matin!
Tu me connais faut pas trop me bousculer..je sors à peine d'hibernation alors prière de ne pas trop me titiller sinon va y avoir de la griffure à sang dans l'air!
Donc "raizumé des zépizodes" précédents (je te mets que le dernier...la flemme de tout te mettre..... tu n'as qu'à lire le toutim si t'y piges que pouic!):
"VALA"!:
Propulsés dans un continum espace/temps créé au moment du grand bordel de 2012 ; Arsène Minet et Marcel ont subi des avaries dans leur vaisseau temporel.
Ils ont été propulsés à une époque antérieure à l'apparition des dinosaures.. le crabouif n'est pas encore apparu sur la planète et pourtant les gros Kons sont déjà là... Ils vénèrent leur grand chef "Sarkon Lepetiot"
Marcel et Arsène leur envoient une giclée maison ...une sorte de bouse de vache aux fumets inédits....ça shmoute à un point que tu n'imagines même pas en rêve.
Illico, cela attire des bestioles que nous connaissons de nos jours très petites... là c'est autre chose: cette espèce  de moustique  mesure environ 1 m  de longueur...te suce en un éclair tout ce qui circule de liquide  dans tes veines et dans tout ton corps...puis le reste se liquéfie et disparait.
Résultat ne reste sur le sol que la bouse de vache!
Les gros kons ainsi se font dévorer par les bestioles tandis qu'Arsène et Marcel repartent vers leur base de départ...au pays des "grands phoques lubriques à cheveux longs" où les attendent leurs petites familles respectives....
Ça te va comme ça?... j'espère GRRRRRRRRRRRRRRRRRR!
.....
Quoi?
Ben non  c'est que le "raizumé"!
La suite c'est pour bientôt!
Pour te consoler "vala" kèke chose à écouter: (en attendant révise... relis les zépisodes précédents...je te sens déçu là......ben j'ai paumé la "klaie uzebébé"...mais si !...je vais la retrouver sinon ce sera de l'inédit "zinzin-provisé"...)
Écoute plutôt et déroule ma poule!:
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Mon mariage dans une autre vie...
un désastre...zavez vu sa tronche?

 




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16.04.2010

BAT MATOU TOUJOURS SUR LA BRÈCHE

 

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Jusqu'où iront-ils dans la connerie ces enfoirés de crabouifs?

Tiens lis toi-même la suite et fais-toi une idée ma poule!

Dimanche 11 avril 2010 7 11 /04 /2010 18:00

Expulsions : une avocate raconte

Guilherme Hauka-Azanga n'a finalement pas été expulsé.

Grâce à son obstination, à la mobilisation qui l'a entouré et au refus de commandants de bord de « transporter » une personne sous contrainte, le pouvoir a reculé.

Depuis le 19 janvier 2010, cet Angolais habitant Lyon et demandeur d'asile a passé quatre jours avec sa compagne et leurs enfants et soixante-douze jours en rétention ou en prison. Il a subi deux arrestations à son domicile, trois tentatives d'embarquement et trois passages à tabac.

Malgré de nombreuses manifestations rassemblant localement des centaines de personnes, des milliers de signatures et de multiples démarches de personnalités et d'élus, le préfet du Rhône et le ministre Besson persistaient dans leur volonté de faire un exemple.

Pourtant, Guilherme Hauka-Azanga est venu demander l'asile à la France après avoir fui l'Angola et les massacres qui ont décimé une partie des siens. Sa seule famille est maintenant constituée de trois enfants réfugiés au Congo et la compagne avec laquelle il a refait sa vie à Lyon, les deux enfants de celle-ci et  les deux enfants nés de cette union.

Nous publions ci-dessous le récit de son avocate.

MEMORIAL 98


Témoignage de Dominique Noguères, avocat, membre du Bureau national de la Ligue des Droits de l'Homme.

Je me suis occupée, ce jeudi 8 avril, de ce monsieur angolais que la préfecture du Rhône essaye d'expulser depuis longtemps déjà.

Le juge des libertés de Lyon avait prolongé sa rétention jusqu'au lendemain, vendredi 9, 11 heures du matin. La veille, il a été embarqué vers 19 heures à l'aéroport de Lyon Bron, dans un avion spécialement affrété par le ministère de l'Intérieur en direction du Bourget. L'aéroport de Bron était un camp retranché : des CRS bloquant tous les accès et un hélico tournant au-dessus... pour surveiller ?

Menotté à bord de cet avion, ce monsieur, à l'arrivée au Bourget, est attendu par trente CRS et six voitures de police, excusez du peu. Avant de monter à bord d'une d'entre elles, il est entièrement ligoté, de la tête aux pieds, comme un saucisson, et on le bâillonne. Il dit que c'était « comme une muselière ».

On l'emmène à la Police de l'air et des frontières (PAF)de Roissy où il attend pendant plus d'une heure, toujours ligoté et entravé, sans pouvoir ni s'asseoir ni se tenir debout. On lui refuse à boire et d'aller aux toilettes.

Enfin on l'emmène en voiture au pied de l'avion pour Luanda (Angola) où il est monté par l'arrière comme un paquet, toujours saucissonné. Le commandant refuse de partir avec lui. Il est redescendu de l'avion et repart à la Police de l'Air et des Frontières. On est « gentil » : on lui désentrave les jambes et on lui enlève son bâillon, mais il est toujours ligoté à partir des genoux.

Après de multiples coups de téléphone, les policiers le remettent dans la voiture et le ramènent à l'avion. Le commandant refuse de faire rouvrir les portes. Il repart à la PAF et là, les policiers ne savent plus quoi faire... On le désentrave.

Il est quatre heures du matin, il est fatigué. Il n'a pas d'endroit pour se reposer et on lui dit que les locaux ne sont pas faits pour ça.

À cinq heures du matin, il est transféré au centre de rétention de Bobigny.

Le matin, je m'inquiète de voir qu'il n'est pas sur les listes des comparutions immédiates pour les refus d'embarquement. Le Parquet me confirme qu'il n'est pas déféré. 
Je vais alors au centre de rétention à Bobigny où je rencontre un homme épuisé, très nerveux, apeuré.

À la fin de l'entretien, au moment où nous nous séparons, il est emmené de force et je comprends qu'on va tenter de l'expulser. Je ne peux rien faire : il disparaît derrière une porte et les policiers ne sont au courant de rien. Je me trompe de porte en repartant et reviens sur mes pas pour voir qu'effectivement on lui a remis son paquetage.

Sa femme attend en bas pour le voir. Elle ne le verra pas. Les policiers expliquent qu'il prendra un avion au Bourget à 17 heures 30 pour destination inconnue. Les recoupements sont vite faits : il n'y a pas de vols de Paris pour Luanda aujourd'hui, mais de Lisbonne ou Francfort.

On organise en urgence une conférence de presse à 16 heures 30 avec une bonne couverture médiatique, et on attend.

Enfin, à 22 heures, on apprend qu'il sera libéré ; l'avion parti pour le Portugal n'ayant pas eu l'autorisation d'atterrir. Il est revenu à Bobigny et a été libéré du centre de rétention vers minuit. Dans l'avion qui l'emmenait vers Lisbonne il était accompagné de quatre policiers et attaché sur son siège Communiqué laconique de la préfecture du Rhône  indiquant qu'en raison de l'impossibilité d'exécuter la mesure, il le remettait en liberté.

Résumons : déploiements de police incroyables, deux avions spéciaux, un aller et retour pour rien vers Lisbonne... Mais, surtout, des mauvais traitements, des traitements inhumains et dégradants.

On est  épuisés, heureux qu'il s'en soit sorti, mais dégoûtés de ces méthodes indignes. Merci aux formidables mobilisations des militants, et des élus.

C'est nous qui aurons le dernier mot !

Dominique Noguères


Mémorial 98

 

 

 


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"Merdalor" les crabouifs vous n'êtes pas des robots!


Croyez-moi jamais un matou ne ferait une chose pareille à ses frangins.

 


Bande d'enfoirés de crabouifs!

 


Ça va chier si vous continuez à déconner :

vous empechez tous les matoux de roupiller peinards avec vos zincs "àlakon" pour virer vos frangins déjà que ça pollue  mais en plus vous nous cassez les burettes avec vos turpitudes et vos préférences "zèteniques"...d'ailleurs "zètes-niqués" d'avance avec des trucs pareils!


Est-ce bien nécessaire d'être aussi "kons"?

"yakékunkimadit"que pour attendrir la keue-nelle (ce doit être dur et un peu métallique une keue-nelle de robot?) de not' zélu principol "popol"de mauvaise rumeur (...'" Atchoum Tuladanlos1er  de disneyland: A.T.1 (atin-trèzatin pour les intimes) et lui rappeler qu'il n'a pas toujours été un robot (du moins j'espère pour lui) )qu'il a connu lui aussi des parfums d'enfance et que tous les mômes du monde (ancien ou nouveaux) doivent avoir les mêmes chances de pouvoir s'instruire et de vivre avec leurs parents où bon leur semble sur cette planète.

Ecoute la dame mon petit:


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(spéciale dédicace pour la chanson et pour l'article à la petite Lylou)

04:02 Publié dans humour bête et crabouif | Lien permanent | Commentaires (0) | Trackbacks (0) | Envoyer cette note | Tags : politique fiction, humour, fiction, batmatou

Publié dans lesblablasdematouland

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